Les différents formes de dopages
1) Le dopage intellectuel
Qu’est-ce que le dopage intellectuel ? Le dopage intellectuel est tout simplement le principe de se doper pour accroitre ses connaissances intellectuelles ou d’augmenter les capacités du cerveau à se concentrer.
Aujourd’hui, beaucoup de gens se dopent pour pouvoir accéder à une école ou réussir un examen. C’est tout simplement de la triche. Aujourd’hui, on sait que de plus en plus de gens se dopent. Au départ, on a découvert ses méthodes dans les campus des plus grandes universités américaines. Le phénomène s’est propagé et ces méthodes de triches se sont développées également en Europe. Il existe plusieurs dopants intellectuels :
Les dopants qui servent à améliorer la concentration et les dopants qui visent à booster les capacités du cerveau à réfléchir.
Les cocktails de vitamines ont pour but de lutter contre la fatigue et à faciliter la mémoire, il n’y a pas vraiment de risque important si ce n’est une overdose (principe de consommer des doses astronomiques).
Ex : La vitamine C (acide ascorbique)
Les Stimulants ont pour but d’accroitre la vigilance et comme les cocktails de vitamines, de lutter contre la fatigue et d’améliorer la mémoire. Cependant, contrairement aux cocktails de vitamines, les stimulants peuvent rendre dépendant, anorexique et surtout avoir des troubles nerveux très importants tels que des dépressions ou des crises d’angoisses.
Ex : La caféine ou la nicotine sont très connues mais également la cocaïne qui provoque un sentiment de puissance intellectuelle et peut provoquer également des bouffées délirantes.
Les tranquillisants sont comme nous l’avons dit ci-dessus, des médicaments qui servent à mieux se concentrer et à éviter tout stress. Ces médicaments visent à calmer l’anxiété et ses conséquences (insomnie, hyperémotivité, élévation de la tension artérielle) mais surtout à atténuer l’angoisse liée par exemple à un examen. Les tranquillisants majeurs peuvent modifier l’état de la personne ou provoquer des dépressions. Ces médicaments permettent d’aider seulement à court terme
Ex : Le Benzhoïne ou le Xanax sont très connus aujourd’hui. La molécule d’Alprazolam est traitée dans le Xanax pour traiter les troubles de l’anxiété.
Et enfin pour clore la partie du dopage intellectuel, nous allons vous expliquer ce que sont les bêtabloquants qui sont utilisés avant tout comme médicament pour stabiliser, par exemple, une hypertension artérielle.
Voici quelques exemples de molécules :
Cette fois ci, les risques sont multiples. Les scientifiques ont déjà relevé que ces molécules pouvaient être responsables d’accidents cardiaques, de nausées, voire même de convulsions.
Pour tout cela, il existe différents récepteurs, il en existe trois sortes : les Béta-1, les Béta-2 et les Béta-3.
Tout d’abord, les Béta-1 sont situés au niveau du cœur et entrainent donc une augmentation de la force et de la fréquence de contraction de celui-ci.
Les récepteurs Béta-2 eux entrainent une constriction provoquent une vasodilatation, une hypotension artérielle, une hypoglycémie, une broncho dilatation et une relaxation des muscles de l’intestin.
Les récepteurs Béta-3 sont quant à eux très récents. Ils ont été découverts seulement il y a quelques années grâce aux progrès de la biologie moléculaire mais sont encore mal maitrisés. Ils ne jouent pas vraiment de rôle majeur dans le dopage intellectuel.
Pour conclure, le dopage intellectuel est de plus en plus présent dans notre société et contrairement au dopage sportif, très peu de loi sont établies de nos jours. Seulement, on peut constater une meilleure information à ce sujet.
2) Le dopage sportif :
Pour commencer, on le sait tous, le dopage est fortement utilisé dans le domaine sportif afin d’améliorer ses performances physiques. Sous la consommation de produit dopant, la personne est plus résistante, elle est plus endurante et permet aussi de récupérer plus rapidement quand elle est blessée.
Nous nous rendons compte que depuis 50 ans, le dopage sportif est le dopage le plus mis en avant. De plus en plus de progrès sont faits dans la médecine pour inventer de nouveaux produits et de plus en plus de scandales éclatent au grand public.
Nous allons traiter les différents produits très connus pour se doper dans le domaine sportif en passant par le vin Mariani (inventé en Corse) et L’EPO.
Tout d’abord, il faut savoir « pourquoi les sportifs se dopent-ils ? » Nous allons y répondre de manière très simple, c'est-à-dire que si les sportifs se dopent c’est tout simplement pour avoir de meilleurs résultats. Qui dit « avoir de meilleurs résultats » dit avoir plus de sponsors, dit gagner plus d’argent.
Et c’est bien évidemment l’argent le problème principal du dopage. Aujourd’hui, quand on voit qu’un footballeur gagne en moyenne (En L1 française) 40 000 euros, on se rend vite compte que les footballeurs ne peuvent pas jouer autant de matchs sans avoir de douleurs tout en s’entrainant toute la semaine et en jouant plus d’une heure et demi intensive le week-end. Les joueurs veulent avoir des primes ou avoir une augmentation de salaire donc ils font tout pour ne pas se blesser.
Le dopage est extrêmement présent dans le domaine du cyclisme pour les mêmes raisons, seulement la lutte anti-dopage est beaucoup plus présente et beaucoup plus de contrôles sont faits pour vérifier si les coureurs cyclistes sont dopés. Pour contrer ces méthodes, les cyclistes utilisent des produits pour masquer l’usage de produits dopants en augmentant le cycle urinaire (produit diurétique).
Tous ces produits dopants sont souvent illégaux, mais certaines personnes arrivent à obtenir ces produits tout simplement par le circuit pharmaceutique légal avec le détournement de l’usage d’un médicament prescrit sur ordonnance, via internet, via des circuits clandestins ou encore par des autotransfusions.
Ils existent donc différentes sortent de produits dopants : les stimulants (comme dans le dopage intellectuel), les hormones, les narcotiques, puis il existe aussi d’autres sortes de dopage qui ne nécessitent pas de produits spécifiques.
Pour commencer, les stimulants permettent d’accroitre la concentration et réduisent la sensation de fatigue.
L’adrénaline est une substance interdite et surtout qui est normalement spécifiée pour un autre traitement que le dopage sportif donc quand une personne se dope à l’adrénaline dans le but d’améliorer ses résultats sportifs, cela signifie qu’il a réussi à fabriquer de l’adrénaline ou alors qu’il a réussi à contourner une industrie pharmaceutique.
Seulement, pas tous les stimulants ne sont interdits, par exemple la caféine. La caféine étant un dopant naturel, nous y reviendrons dans notre troisième partie des différentes sortes de dopages.
Il ne faut pas oublier que les stimulants agissent sur le système cardiovasculaire et neurologique, ce qui peut causer de graves problèmes ainsi que de très graves maladies.
Cependant, il existe aussi des hormones. Ces hormones sont quant à elles des substances chimiques sécrétées par une glande endocrine
Une hormone est une molécule messagère qui est diffusée dans l’ensemble de l’organisme ou à l’extérieur d’un personne. Tout d’abord, il faut savoir que ces hormones permettent de réguler les différents paramètres de vie d’un animal ou d’une personne tel que sa croissance, sa sexualité.
On sait également que les hormones peuvent guérir : « Un travail hollandais1 a montré ainsi que l’hormone de croissance facilitait le rétablissement après une fracture du col du fémur, mais seulement chez les personnes de plus de 75 ans. »
Voici ce que pense Dorian Martinez la fondatrice du site « dopage.com » dont nous nous sommes servis
"A l’instar des anabolisants dont elle peut potentialiser les effets, l’hormone de croissance permet de gagner en masse musculaire. Gagner en masse musculaire est bénéfique pour la majorité des sports, y compris le football. L’utilisation de ce produit a été démontrée dans le cyclisme et on peut supposer que son emploi dans d’autres disciplines ne soit pas rare. Quand des athlètes gagnent deux pointures ou voient leurs dents se déchausser à plus de 25 ans, on peut suspecter l’hormone de croissance. Mais là-encore, la suspicion ne fait pas la preuve et tant que des tests efficaces utilisables en routine ne seront pas accessibles…"